La Fonction Biologique du Sommeil

Les scientifiques ont mené de nombreuses études sur la fonction biologique du sommeil.

En effet, ils souhaitent parvenir à prouver que le sommeil en tant que fonction biologique est fortement lié aux fonctions de la mémoire chez les humains tout comme chez les animaux. 

Dans cet article, nous revenons sur ces différentes études réalisées et les résultats très surprenants qu'il en ressort. 

Les rêves participent à la consolidation de la mémoire

Les quatre critères qui ont soutenu l'investigation de la théorie selon laquelle le rêve participe à la consolidation de la mémoire récente sont les suivants : 

• L'impact ou les effets de la privation de sommeil sur la consolidation de la mémoire. 

• L'impact ou les effets de l'apprentissage sur le sommeil post-formation. 

• L'impact ou les effets de la stimulation pendant le sommeil, sur les habitudes de sommeil et sur la mémoire 

• La ré-expression des modèles de comportement déterminés par les neurones pendant le sommeil post-entraînement 

De nombreuses études réalisées jusqu'à présent ont corroboré l'idée que le sommeil en tant que fonction biologique est fortement lié aux fonctions de la mémoire chez l'homme et l'animal.

Malheureusement, ces chercheurs ne disposent pas de preuves scientifiques suffisantes pour confirmer ou rejeter cette hypothèse.

Certaines d'entre elles présentent parfois des contradictions sur la consolidation de la mémoire déclarative et non déclarative, qui dépendent respectivement des processus de sommeil REM et NON-REM. 

D'autre part, aucune preuve scientifique n'a été trouvée non plus pour confirmer la corrélation qui, selon certains, existe entre la quantité de sommeil d'une espèce et ses capacités intellectuelles.

Quelques exemples de théories

Un exemple parfait, serait celui des chats, qui dorment en moyenne dix et six heures par jour et qui, selon cette théorie, devraient avoir une mémoire plus qu'extraordinaire.

Et surtout, bien supérieure à celle d'un être humain adulte qui dort en moyenne huit heures par jour.

Un autre exemple serait celui d'une personne qui, en raison d'une blessure traumatique ou d'une consommation habituelle de drogues, n'a pas de sommeil paradoxal, mais qui consolide parfaitement son processus d'apprentissage. 

Dans le cadre des progrès technologiques, impensables il y a plusieurs décennies, de nombreux spécialistes du processus du sommeil ont orienté les comparaisons du processus d'ordonnancement de la mémoire pendant le sommeil, avec le processus de défragmentation de la mémoire des ordinateurs. 

Dans les deux cas, le même objectif est poursuivi, à savoir la réalisation d'un processus de maintenance et d'économie des ressources.

Celui-ci permet à l'être humain d'avoir une meilleure et plus adéquate disposition opérationnelle de la mémoire, pour les moments de plus grande utilisation.

Sous-entendu, lorsque l'être humain est éveillé et que son cerveau est en fonctionnement !

Impact causé par la privation de sommeil

L'une des découvertes les plus remarquables est, qu'il a été confirmé que les personnes qui sont privées de sommeil, sont susceptibles de devenir dans la plupart des cas des dormeurs avec un sommeil beaucoup plus efficace.

En conclusion...

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